dimanche 18 janvier 2015


Nous voilà déjà en 2015 sans que j'ai repris ce Blog pour y noter mes livres lus et films vus !  

Je commence donc cette année par 1 LIVRE et 2 FILMS : 

Une Soupe aux Herbes Sauvages

Ce livre avait eu beaucoup de succès dans les années 80.

J'ai beaucoup apprécié partager la vie d'Emilie et de sa famille même si sa vie a été ponctuée de nombreux moments tristes. J'ai pensé alors à mes grands parents, à mes parents... ils n'étaient pas paysans mais la vie aussi a été difficile sans le confort matériel et social que l'on connait actuellement (même si ce dernier est en péril, il a le mérite d'exister).


     

"Dans son livre autobiographique, Émilie Carles parle non seulement de sa vie, mais aussi avec sensibilité et humanité de la vie des montagnards. Elle détaille longuement les petits faits qui témoignent bien de la difficulté de vivre dans cette région. Elle décrit les travaux quotidiens et les améliorations apportées par le progrès aux villages éloignés. Institutrice elle est en contact permanent avec ce milieu populaire dont elle est issue. Son récit est un témoignage remarquable sur la vie des familles de paysans dans les Hautes-Alpes dans l’entre-deux-guerres : premiers poêles à charbon, raccordement au réseau électrique, amélioration de l’équipement ménager. La possibilité d’améliorer le confort quotidien dépend des récoltes, de la santé du bétail. Elle raconte aussi les longues veillées d’hiver et l’entraide nécessaire dans les moments difficiles. À l’école, elle s’efforce de travailler dans la ligne de son idéal. Elle tient à ce que ses élèves développent leurs propres talents, aiment l’étude et respectent les valeurs morales : solidarité, respect d’autrui, responsabilité individuelle. Elle décrit avec enthousiasme son espoir de voir le monde devenir meilleur et appliquer de nouvelles valeurs morales.
Son livre reçut un grand succès et devint même le sujet d’un téléfilm réalisé en 1997 par Alain Bonnot avec Annie Girardot dans le rôle de l’institutrice retraitée. Émilie Carles a fait don de son corps à la science". Source : Wikipédia


                                                                            ***

Le film, c'est : 

Dans l'ombre de Mary - La promesse de Walt Disney

 

"Lorsque les filles de Walt Disney le supplient d’adapter au cinéma leur livre préféré, “Mary Poppins”, celui-ci leur fait une promesse... qu’il mettra vingt ans à tenir ! 
Dans sa quête pour obtenir les droits d’adaptation du roman, Walt Disney va se heurter à l’auteure, Pamela Lyndon Travers, femme têtue et inflexible qui n’a aucunement l’intention de laisser son héroïne bien aimée se faire malmener par la machine hollywoodienne. Mais quand les ventes du livre commencent à se raréfier et que l’argent vient à manquer, elle accepte à contrecoeur de se rendre à Los Angeles pour entendre ce que Disney a imaginé... 
Au cours de deux semaines intenses en 1961, Walt Disney va se démener pour convaincre la romancière. Armé de ses story-boards bourrés d’imagination et des chansons pleines d’entrain composées par les talentueux frères Sherman, il jette toutes ses forces dans l’offensive, mais l’ombrageuse auteure ne cède pas. Impuissant, il voit peu à peu le projet lui échapper... 
Ce n’est qu’en cherchant dans le passé de P.L. Travers, et plus particulièrement dans son enfance, qu’il va découvrir la vérité sur les fantômes qui la hantent. Ensemble, ils finiront par créer l’un des films les plus inoubliables de l’histoire du 7ème art..." Source : Allociné

Le titre original du film est "Saving Mr. Banks" et bien que sa traduction française bizarre et à rallonge, ne donne pas envie de le voir, j'ai passé un excellent moment.
 
Il me reste dans la tête la chanson... Non, non pas Supercalifragili... ou quelque chose comme ça, trop facile, mais... le cerf volant !
Un des meilleurs moments du film. Mais, chuuuttt... je ne vous en dis pas plus !

Ah si quand même :
Qu'il est charmant et têtu Walt Disney (et heureusement pour Mary Poppins).
Qu'elle est pénible, agaçante et attachante cette Paméla/Hélène ! Mais qu'elle est triste aussi, poursuivie par les fantômes de son enfance.
Une sacré performance d'actrice pour Emma Thompson, un joli rôle pour Tom Hanks, bref un film qui donne envie de revoir Mary Poppins ! 

                                                                            ***






Maestro 

 

Hier j'ai vu ce film, avec cet acteur formidable : Michael Lonsdale.

Je me souviens  que dans les années 70/80 à l'époque du film folle a tuer avec Marlene Jobert  cet acteur se faisait appeler Michel !
Son vrai prénom, Michael, n'était pas encore à la mode... 
Etonnant, quand les décennies précédentes, cinéma et surtout dans la musique française, ont donné naissance à des prénoms et des patronymes "americanisés" (Sheila, Eddy Michel et bien sur Johnny Hallyday...)  

Quand on est a la mode avant la mode, ben on est pas à la mode !

Petite précision car  Internet qui me souffle à l'oreille que :
 "La francisation de son prénom - en Michel - provient de l'acteur belge Raymond Rouleau qui ne parvenait pas à prononcer correctement Michael" Wikipédia

Ah ben voilà, c'est Raymond qui a fait le coup !



A part ça, un bon film, plein d'humour, un peu particulier et je dirai "rafraichissant". 

"Henri, un jeune acteur qui rêve de jouer dans FAST & FURIOUS, se retrouve engagé dans le film de Cédric Rovère, monstre sacré du cinéma d’auteur. Les conditions du tournage ne sont pas tout à fait celles auxquelles il s’attendait… Mais le charme de sa partenaire et la bienveillance du maître vont faire naître en lui des sentiments jusqu’alors inconnus. Et Rovère, conquis par la jeunesse et la fantaisie d’Henri, vivra ce tournage comme un cadeau inattendu". Allociné







lundi 15 septembre 2014




Littérature du jour, bonjour !

Après avoir lu et apprécié le livre :
  
 "117 jours à la dérive" de Maralyn et Maurice Bailey, l'histoire d'un couple d'anglais qui, après le naufrage de leur voilier ont dramatiquement survécu 4 mois à bord d'un petit canot de sauvetage avant d'être secourus (Edition originale de 1973),




J'ai eu connaissance de ce livre : "Naufragé Volontaire" d'Alain Bombard

J'ai pu me procurer aussi, et pour un prix très raisonnable, l'édition originale de 1953 qui semble assez rare. Je ne l'ai pas encore lu mais ça ne saurait tarder.




Un petit clin d'oeil à mon fils (dont c'était l'anniversaire hier) avec cette image du :

Pont Flavien 

 



Le Pont Flavien est un antique pont romain placé sur la voie romaine reliant Marseille à Arles, dans le prolongement de la via Aurélia. Il enjambe la Touloubre à l'entrée de Saint-Chamas (13). 
Il porte le nom de son promoteur, un certain Claudius Donnius Flavius. 
Le pont Flavien fait l'objet d'un classement au titre des Monuments Historiques par la liste de 1840.

Les voyageurs accèdent au pont en passant sous deux arches monumentales placées sur chaque rive. Les frises et les architraves de ces arches portent chacune la même inscription en latin local.

Inscription :

C. DONNIVS. C. F. FLAVOS FLAMEN. ROMAE ET.
AVGVSTI. TESTAMENTO. FIEREI. IVSSIT. ARBITRATV.
C DONNEI, VENAE. ET. C. ATTEI. RVFEI.


Traduction :

Claudius Donnius Flavus, fils de Claudius, flamine* de Rome et d'Auguste, a ordonné par son testament de bâtir ce pont et ces arcs, sous la direction de C. Donnius Vena et de C. Attius Ruf

* Les flamines (singulier flamen en latin) sont des prêtres romains voués au culte d'un seul dieu
 
On en apprend tous les jours !

(Merci Wikipédia, j'espère que tout ça est exact).

Voilà, il me reste à aller visiter ce site.

lundi 1 septembre 2014



Voilà des mois que je n'ai pas publié sur ce Blog car les images ne s'affichaient plus. 
J'ai profité de la simplicité de Facebook pour publier les liens, photos ou autres sujets m'intéressant et susceptibles d'intéresser mes lecteurs (même s'il ne sont guère nombreux :-)...).

Toutefois, j'aimais bien le concept du Blog aussi je refais donc un essai aujourd'hui en postant la photo d'un livre que je viens de recevoir (par l'intermédiaire d'un site d'échange de livres de poches PocheTroc). Il s'agit d'un livre, paru en 1984, que j'ai déjà lu. Je vous dirai ce que j'en pense : 

"La nouvelle se répand : François Mitterrand a été enlevé. Le colonel Froment de Beaulieu prend le pouvoir et la dictature s'abat sur la France. Hébétés, les Français subissent sans réagir ce dramatique changement de régime.Nadine et Daniel Staffler, eux, connaissent bien le colonel Froment de Beaulieu. Trop bien. Pendant des années, il a été pour Nadine l'ami de la famille, jusqu'au jour où, éconduit, il a ressenti ce refus comme une humiliation. Mais c'est Daniel, le mari de Nadine, que le nouveau chef de l'Etat poursuit avec le plus d'acharnement. Chimiste de grande réputation, il a inventé un produit qui permet d'annihiler l'instinct de révolte. Ses travaux, encore secrets, sont d'une valeur inestimable pour un régime totalitaire. Et l'on comprendra vite que la haine du colonel envers le mari de Nadine l'anime au moins autant que sa passion du pouvoir.Envoûtant, d'une logique implacable, le dernier roman de Christine Arnothy analyse avec une remarquable acuité les relations d'un homme et d'une femme confrontés à la dictature, leur courage, leurs faiblesses. Les liens très particuliers qui les attachent au maître du pays se mêlent à leur vie privée, bouleversant les sentiments qu'ils ont l'un pour l'autre.Roman psychologique, {l'Ami de la famille} est aussi un roman politique où les Français sont montrés sans concessions, avec leurs qualités et leurs défauts, et où les situations sont décrites avec tant de réalisme qu'on ne cesse de se demander : et si un jour cela devait nous arriver ?"




mardi 21 janvier 2014

samedi 28 septembre 2013


 Aujourd'hui samedi, sûrement pas beaucoup d'ami(e)s sur Facebook... 
Tant pis, je mets quand même mes 3 petites images. 

 

CHERCHEZ L'ERREUR ! 

... dans l'image et texte ci-dessous :

 




 Je vous dirais bien aussi "chercher l'erreur" mais ce serait un peu difficile pour les non locaux.

Alors, la soluce : il n'y a que 16 arrondissements à Marseille.

Les clients vont pouvoir le chercher longtemps le cours de théâtre ! :)






Alors lui, je l'aime bien, c'est le nouveau Cupidon !

Je l'ai vu dans une pub étrangère et je l'ai trouvé bien sympathique, ça change des petits anges blonds, roses et joufflus, mignons mais un peu kitsch quand même.





Et, quand on y pense, dans le mot Cupidon, il y a le mot...







Don... Don de soi, don de son coeur, de son corps, de son âme... 
C'est beau, hein !